Libre en fête 2023 au Cheylard

Pour le logiciel libre, c’est une tradition de fêter le printemps. Venez fêter le logiciel libre !

Cette année, la Fabritech du Cheylard a pensé a le célébrer, aussi nous participerons à leur événement pour apporter notre graine libre.

Le printemps arrive en pleine effervescence, les bourgeons pointent leur nez fragile et les pétales éclatent (comme la colère sociale qui gronde et qui est légitime).

Quand ?  Du mardi 28 mars 2023 à 14h00 au mercredi 29 mars 2023 à 20h00.

Où ? Fabritech du Cheylard – Poleyrieux – 400, Route d’Aric Industrie – Le Cheylard
https://www.agendadulibre.org/events/26906

PERMANENT :

  • Exposition de l’APRIL « Le logiciel libre »
  • Découverte accompagnée de l’informatique libre
  • Rover Centipede, le GPS précis au centimètre !
  • « Install party » : viens avec ton (vieux) pc, on le rajeunit avec Linux !
  • GAFAM et données personnelles (par l’UFC-que-choisir 07)

MARDI 28 MARS : 14h – 20h

  • 14h30 : « une bonne recette de cookies industriels (moins bon que ceux de ta grand-mère !) »
  • 17h30 : « avoir son propre cloud pour maîtriser ses données »
  • 18h15 – 20h : film d’animation et projection du documentaire « LOL, une affaire sérieuse »

MERCREDI 29 MARS 9h30 – 20h

  • 11h : Avoir une bonne hygiène numérique
  • 14h et 15h30 : Atelier MineTest, viens reconstruire le Cheylard » -> Groupes de 8, sur inscription, à partir de 7 ans (accompagnés si moins de 10 ans)
  • Découvrir PrimTux, le Linux éducatif pour les plus jeunes (3-10 ans)
  • 18h : Chapéro : (re)découvrir les « Chatons », Héberger ses données

https://mobilizon.linux07.fr/events/d15a526e-e148-4d80-b3f2-e27ce9686904

Les Journées du logiciel libre- Utopies concrètes et accessibles

Ce week-end les 2 et 3 Avril 2022 à Lyon, Maison des Rancy auront lieu la 23ème édition des jdll.

Le programme des jdll est vraiment exhaustif et très intéressant cette année.

Je suis content de voir l’aspect militant et alternatif de retour, les questions sur la sobriété numérique et sur les éthiques sociétales sont présentes.

Un chouette rendez-vous à ne pas manquer pour découvrir les enjeux du logiciel libre et ses acteurs.

Je vous conseille de bien regarder le programme, il y en a pour tous les goûts

Le planning est en ligne !

Vous le trouverez ici : https://pretalx.jdll.org/jdll2022/schedule/ !

Retrouvez ici le programme PDF

Vous pouvez aussi installer l’application giggity sur votre ordiphone sous Android.

Après-midi du Libre en 2018

Pour cette année 2018, nous allons essayer de fixer nos rencontres chaque avant-dernier mercredi de chaque mois (dans la mesure du possible) de 13h30 à 19h30. Des bénévoles des associations du Libre vous accueilleront au Bar L’Estaminet lors de l’install party pour les « Après-midi du Libre ».

Nota: Nous débuterons le Mercredi 24 Octobre 2017.

Nous (trois passionnés de GNU/Linux) avons envie de créer une rencontre régulière (1 fois par mois) autour de GNU/Linux pour faire connaître ses possibilités, l’entraide, partager nos connaissances, aborder des thèmes ( la retouche d’images, la vidéo, le son, la sécurité ou d’autres thèmes selon les désirs de chacun) vous aider à installer une distribution et à apprendre à utiliser son environnement. Pour une installation veuillez lire attentivement la page Install-Party et n’hésitez pas à prévenir à l’avance si vous le pouvez en nous contactant.

GNU/Linux, où comment se libérer ?

Saviez-vous qu’il existe des alternatives aux logiciels propriétaires et aux systèmes d’exploitation propriétaires (Windows ou MacOS) pour ne pas les citer ? Pour ceux qui s’intéresse un minimum à ce qui se passe dans le web, cela semble évident qu’ils ont déjà entendu parler de GNU/Linux, même si ils n’ont pas oser faire la démarche de l’installer sur leurs ordinateurs, ils utilisent sûrement des logiciels libres (« Logiciel libre » [free software] désigne des logiciels qui respectent la liberté des utilisateurs. Cela veut dire que les utilisateurs ont la liberté d’exécuter, copier, distribuer, étudier, modifier et améliorer ces logiciels. Ainsi, « logiciel libre » fait référence à la liberté, pas au prix. Pour comprendre ce concept, vous devez penser à « liberté d’expression », pas à « entrée libre »).Même sans le savoir parfois , par exemple en utilisant un célèbre navigateur internet comme Firefox ou bien un lecteur vidéo VLC ou encore le logiciel de bureautique Libreoffice.

Le projet GNU a été lancé en 1984 pour développer le système GNU. Le nom « GNU » est un acronyme récursif pour GNU’s Not Unix! (GNU N’est pas Unix !) ; il se prononce gnou, avec une syllabe sans voyelle entre le g (dur) et le n

En cette période de perte de confiance dans le numérique, suite aux révélations d’Edward Snowden sur la NSA et ses liens avec les géants du numérique, le logiciel libre, transparent et auditable, apparaît comme étant un des piliers permettant de disposer d’un monde numérique au service des individus plutôt qu’au service des multinationales et des états.

J’entends régulièrement qu’il faut être informaticien pour utiliser des distributions libres. Je vous assure qu’il existe des distributions bien plus facile à installer et à maîtriser que Windows. Dernièrement, j’en ai découvert des très légères qui sont spécialement conçues pour des débutants (comme Emmabuntüs ou DFLinux), très bien documentées et très intuitives.

Nous qualifions ce logiciel de « libre » (nous utilisons ce mot, même en anglais, dans l’expression free/libre, pour souligner le fait que nous parlons de liberté et non de prix). Certains programmes privateurs, tels que Photoshop, sont vraiment coûteux ; d’autres, tels que Flash Player, sont disponibles gratuitement. Dans les deux cas, ils soumettent leurs utilisateurs au pouvoir du propriétaire du programme. Beaucoup de choses ont changé depuis le début : dans les pays développés, la plupart des gens possèdent maintenant des ordinateurs (parfois appelés « téléphones ») et s’en servent pour se connecter à Internet. Si les logiciels non libres continuent de forcer les utilisateurs à abandonner à un tiers le pouvoir sur leur informatique, il existe à présent un autre moyen de perdre ce pouvoir : le « service se substituant au logiciel » ou , qui consiste à laisser le serveur d’un tiers prendre en charge vos tâches informatiques.

Tant les logiciels non libres que le SaaSS peuvent espionner l’utilisateur, enchaîner l’utilisateur et même attaquer l’utilisateur. Les abus sont monnaie courante dans les services et logiciels privateurs parce que les utilisateurs n’en sont responsables. C’est là que se situe la différence fondamentale : les logiciels non libres et le SaaSS sont contrôlés par une entité externe (généralement une société privée ou un État), et les utilisateurs n’ont pas leur mot à dire. Le logiciel libre, au contraire, met l’utilisateur aux commandes.Pourquoi ce contrôle est-il important ? Parce qu’avoir la liberté signifie avoir la maîtrise de sa propre vie. Si vous utilisez un programme pour mener à bien des tâches affectant votre vie, votre liberté dépend du contrôle que vous avez sur ce programme. Vous méritez d’avoir un contrôle sur les programmes que vous utilisez, d’autant plus quand vous les utilisez pour quelque chose d’important pour vous.  (cf : Richard Stallman)

2 journées autour du logiciel libre

Pour ces vacances scolaires, nous organisons 2 journées de découverte autour des logiciels libres les Samedi 28 octobre et Dimanche 29 Octobre (voir sur l’Agenda).

Au bar de l’Éstaminet à Lamastre

Bar de l'Estaminet à Lamastre
Bar de l’Estaminet à Lamastre sur Opensteetmap

Samedi 28 0ctobre de 13h30 à 19h30

Nous proposons une journée comme tous les Dernier Dimanche du Libre (DDL), une rencontre autour de GNU/Linux pour faire connaître ses possibilités, l’entraide, partager nos connaissances, aborder des thèmes ( la retouche d’images, la vidéo, le son, la sécurité ou d’autres thèmes selon les désirs de chacun) vous aider à installer une distribution GNU/Linux si vous voulez franchir le pas et à apprendre à utiliser son environnement.

Pour une installation veuillez lire attentivement la page Install-Party et n’hésitez pas à prévenir à l’avance si vous le pouvez en nous contactant.

Avec l’équipe de l’association Linux07 : Rodolphe Robles, Rolf Allard Van Hagen et Yolaine Carlier.

Dimanche 29 0ctobre

Vous êtes libres de venir aux ateliers ou à la conférence de votre choix.

10h30 à 12h00  Atelier « Découverte du numérique libre »

  • Quels logiciels installés ?
  • Comment s’organiser ? (comment trouver les paquets, les dépôts d’une distribution, de l’aide)
  • Quelles sont les choses à faire, ne pas faire et à éviter ?
  • Comment assurer la sécurité de mon ordinateur et protéger ma vie privée ?
  • Les premiers pas en console

Avec Rodolphe Robles, passionné et militant de logiciel Libre, Développeur Logiciel, webmaster de divers sites, président de l’association Linux07 (Groupement d’Utilisateurs Linux en Ardèche). Je contribue un peu à diverses communautés autour du logiciel libre. J’organise aussi les Derniers Dimanche du Libre et intervient dans des écoles primaires pour des activités de découverte de l’informatique.

Vous pouvez apporter votre pc (recommandé, il y aura quelques ordinateurs sur place)

Bande dessinée informaticiens, humour
Les informaticiens ne parlent pas le même langage.
source: https://dflinux.frama.io/lescahiersdudebutant/lcdd02-initiation-info/

15h30 à 17h00 Conférence « Vie privée et Internet » de Benjamin Sonntag

Rencontre débat avec Benjamin Sonntag, ingénieur système et réseaux,
militant du logiciel libre a cofondé la Quadrature du Net en 2008,
association de défense des libertés dans l’espace numérique.
Régulièrement interviewé sur les usages de l’Internet, le fichage et la
neutralité du net, il participe et organise des rendez-vous de
formation à la protection des données personnelles et la défense de la
vie privée.

17h30 à 19h30 atelier « Jouez avec vos photos »

Faites en des cartes de vœux ou d’anniversaire, décorez les, modifiez les !
Tout en découvrant un logiciel Libre et gratuit : Gimp. Avec Chantal Bernard-Putz, militante du logiciel libre intervenante à l’université sur les usages de l’informatique et d’internet et Édouard Putz, enseignant libriste.

(Vous pourrez l’installer sur place, il fonctionne sous Linux mais également sur tout système d’exploitation y compris Windows !)

GIMP est l’acronyme de GNU Image Manipulation Program. Il s’agit d’un logiciel libre, en licence GPL, de retouche et de création d’images numériques. GIMP est un logiciel puissant doté de larges fonctionnalités, de nombreux outils et filtres et il supporte de nombreux formats utilisés en imagerie numérique. Son interface très flexible et aisément configurable permet à chacun d’organiser son espace de travail. Il peut être utilisé pour les applications suivantes :

  • dessin artistique
  •  retouche photographiques
  •  digiscrap
  •  manipulation d’images
  •  graphisme web y compris les animations
  •  vidéo

Vous pouvez apporter votre pc (recommandé, il y aura quelques ordinateurs sur place). Vous pouvez aussi amener une clé USB pour sauvegarder le logiciel et votre travail.

logo du logiciel Gimp
source: https://www.gimp.org/images/frontpage/wilber-big.png)

Dernier Dimanche du Libre (DDL)

Pour cette année 2017, nous allons essayer de fixer nos rencontres chaque dernier dimanche de chaque mois (dans la mesure du possible) de 13h30 à 19h30. Des bénévoles des associations du Libre vous accueilleront au Bar L’Estaminet lors de l’install party du Dernier Dimanche du Libre (DDL).

Nota: Nous débuterons le Dimanche 24 Septembre 2017.

Nous (trois passionnés de GNU/Linux) avons envie de créer une rencontre régulière (1 fois par mois) autour de GNU/Linux pour faire connaître ses possibilités, l’entraide, partager nos connaissances, aborder des thèmes ( la retouche d’images, la vidéo, le son, la sécurité ou d’autres thèmes selon les désirs de chacun) vous aider à installer une distribution et à apprendre à utiliser son environnement. Pour une installation veuillez lire attentivement la page Install-Party et n’hésitez pas à prévenir à l’avance si vous le pouvez en nous contactant.

GNU/Linux, où comment se libérer ?

Saviez-vous qu’il existe des alternatives aux logiciels propriétaires et aux systèmes d’exploitation propriétaires (Windows ou MacOS) pour ne pas les citer ? Pour ceux qui s’intéresse un minimum à ce qui se passe dans le web, cela semble évident qu’ils ont déjà entendu parler de GNU/Linux, même si ils n’ont pas oser faire la démarche de l’installer sur leurs ordinateurs, ils utilisent sûrement des logiciels libres (« Logiciel libre » [free software] désigne des logiciels qui respectent la liberté des utilisateurs. Cela veut dire que les utilisateurs ont la liberté d’exécuter, copier, distribuer, étudier, modifier et améliorer ces logiciels. Ainsi, « logiciel libre » fait référence à la liberté, pas au prix. Pour comprendre ce concept, vous devez penser à « liberté d’expression », pas à « entrée libre »).Même sans le savoir parfois , par exemple en utilisant un célèbre navigateur internet comme Firefox ou bien un lecteur vidéo VLC ou encore le logiciel de bureautique Libreoffice.

Le projet GNU a été lancé en 1984 pour développer le système GNU. Le nom « GNU » est un acronyme récursif pour GNU’s Not Unix! (GNU N’est pas Unix !) ; il se prononce gnou, avec une syllabe sans voyelle entre le g (dur) et le n

En cette période de perte de confiance dans le numérique, suite aux révélations d’Edward Snowden sur la NSA et ses liens avec les géants du numérique, le logiciel libre, transparent et auditable, apparaît comme étant un des piliers permettant de disposer d’un monde numérique au service des individus plutôt qu’au service des multinationales et des états.

J’entends régulièrement qu’il faut être informaticien pour utiliser des distributions libres. Je vous assure qu’il existe des distributions bien plus facile à installer et à maîtriser que Windows. Dernièrement, j’en ai découvert des très légères qui sont spécialement conçues pour des débutants (comme Emmabuntüs ou DFLinux), très bien documentées et très intuitives.

Nous qualifions ce logiciel de « libre » (nous utilisons ce mot, même en anglais, dans l’expression free/libre, pour souligner le fait que nous parlons de liberté et non de prix). Certains programmes privateurs, tels que Photoshop, sont vraiment coûteux ; d’autres, tels que Flash Player, sont disponibles gratuitement. Dans les deux cas, ils soumettent leurs utilisateurs au pouvoir du propriétaire du programme. Beaucoup de choses ont changé depuis le début : dans les pays développés, la plupart des gens possèdent maintenant des ordinateurs (parfois appelés « téléphones ») et s’en servent pour se connecter à Internet. Si les logiciels non libres continuent de forcer les utilisateurs à abandonner à un tiers le pouvoir sur leur informatique, il existe à présent un autre moyen de perdre ce pouvoir : le « service se substituant au logiciel » ou , qui consiste à laisser le serveur d’un tiers prendre en charge vos tâches informatiques.

Tant les logiciels non libres que le SaaSS peuvent espionner l’utilisateur, enchaîner l’utilisateur et même attaquer l’utilisateur. Les abus sont monnaie courante dans les services et logiciels privateurs parce que les utilisateurs n’en sont responsables. C’est là que se situe la différence fondamentale : les logiciels non libres et le SaaSS sont contrôlés par une entité externe (généralement une société privée ou un État), et les utilisateurs n’ont pas leur mot à dire. Le logiciel libre, au contraire, met l’utilisateur aux commandes.Pourquoi ce contrôle est-il important ? Parce qu’avoir la liberté signifie avoir la maîtrise de sa propre vie. Si vous utilisez un programme pour mener à bien des tâches affectant votre vie, votre liberté dépend du contrôle que vous avez sur ce programme. Vous méritez d’avoir un contrôle sur les programmes que vous utilisez, d’autant plus quand vous les utilisez pour quelque chose d’important pour vous.  (cf : Richard Stallman)